love is a weakness | prince of thieves

Il se résignait à abandonner son titre de « bandit » pour devenir un homme honnête, un bon tavernier sous la bienveillance, et le conseil de sa cher et tendre Marian. L'ancien voleur était loin de se douter de ce qu'il attendait en acceptant ce travail, de nombreuses tâches, de nombreuses responsabilités, ainsi que d’innombrables dettes. Ils n'avaient aucun moyen de s'en échapper, malheureusement. Le shérif se chargea personnellement de leur rappeler combien de temps ils leur restaient pour éponger leur redevance, auquel il serait contraint d'être prisonnier, s'il venait à ne pas respecter le délai imposait par cet homme malveillant, et malhonnête. Soudain un vieil homme, vêtu d'une immense cape, vient lui proposer un deale, en échange d'une maudite somme d'argent pour boucher ses nombreuses dettes. Le deal se tenait à voler une simple potion à la méchante sorcière, par curiosité celui-ci lui demanda pourquoi il ne s'en occupera pas personnellement. Le mage avait suffisamment de pouvoirs pour pouvoir dérober cette potion, n'est-ce pas ? Il refusa sa proposition sous-entendant qu'il n'était plus un voleur, néanmoins celui-ci réussit à capter son attention, en lui rappelant qu'il risquait ne plus posséder sa taverne, s'il ne comptait pas rembourser sa lettre de taxe. Il accepta donc la proposition, suite à l'explication de l'élixir des cœurs brisés, qui permettaient de soigner n'importe quel cœur physiquement et sentimentalement, avant de demander « Ou est-ce que je devrais aller ? » demanda-t-il, à Rumpelstiskin. Là commença sa quête pour s'aventurer dans le monde incroyable d'Oz.

Lors de son périple voyage pour le monde de Oz, il vint porter secours à un voleur prénommé Will Scarlet. Celui-ci était soigneusement ligoté, pour être remis aux autorités pour un vol. ils engagèrent une conversation ensemble, sur sa visite impromptu, et comment il en était venu à s'aventurer dans un pays hostile et dangereux. Il vint donc lui expliquer sa promesse pour lui expliquer son agissement « Je lui ai promis une vie meilleure, et j'ai intention de tenir ma promesse. » raconta-t-il, avant de passer un deale avec son nouveau compagnon, le déposséder de ses vêtements, pour passer complètement inaperçu, et pouvoir dérober la potion sans être démasquer par quiconque, ou même la méchante sorcière. Il pénétra dans immense demeure, ôtant son casque qui oppressait, en reprenant son ancien travail, subtilisant un collier dans un placard, en se procurant le précieux et fameux élixir que souhaitait Rumpelstiskin. La méchante sorcière le démasqua, en venant interroger sur ce qu'il comptait dérober. Il s'empara d'un arc pour se protéger, ou trouver un plan d'évasion, quand celle-ci se mit à se décupler en interrogeant de nouveau. « Pourquoi Rumpelstiskin t'a-t-il envoyé ? » questionna-t-elle, avant qu'il reporta son regard sur un objet, elle reprit sa forme unique, en lançant son attaque. Le voleur envoya sa première flèche sur une colonne, qui projeta de la fumée sur la « méchante sorcière » lui permettant de s'évader par la même occasion. Il s'empressa de rejoindre le passage pour retourner dans son monde, Nottingham. Le voleur reprit son souffle, en expliquant qu'il était tombé malheureusement dans un piège, en mentant délibérément à son compagnon, en sous-entendant qu'il n'avait pas pu récupérer la potion pour Rumpelstiskin, un mensonge. Il comprit ensuite qu'il avait besoin de cette potion pour soigner son cœur, lors de leur dernier échange, pour le remercier d'avoir tenter de récupérer la potion, même en sous-entendant qu'il mentait pour préserver la potion et sauver sa taverne. Il sacrifia tout néanmoins, en mettant discrètement la potion dans la tenue de Scarlet, pendant leur accolade, avant de prendre le passage pour retourner dans son monde.

Le shérif vint le jour de son délai, attendant que celui-ci paye comme il était convenu ses nombreux impots. Le tavernier nettoyait correctement ses couverts, avant de remarquer leur présence. Ils eurent une courte discutions ensemble, en lui indiquant même les menottes, étant donner qu'il ne pouvait pas payer les dommages. Lorsqu'au signal, les camarades, voleurs de Robin de Locksley apparurent. « Pas si vite. » menaça Petit Jean. Là il engaga la conversation, avec un air convainquant « Tu avais raison à propos de moi. Voler, c'est dans mes veines. Mais comment etre un voleur avec de l'honneur ? Je pense avoir appris la réponse, en volant à ceux qui en ont trop, et le donner à ce qui en ont pas assez. » expliqua-t-il, en dérobant son argent, que ses compagnons remirent ensuite au peuple de Nottingham. Les deux amoureux se retrouvèrent, pour une conversation, et un engagement. « Tu sais que Nottingham te voudra mort. » « Je considère ça comme une victoire. » « Tu es le voyou le plus connu de tout Sherwood. Robin de Locksley sera une cible vivante. » « Je ne serais plus connu sous le nom de Robin de Locksley. Le célèbre voyou sera dorénavant connu sous le nom de Robin des Bois. » dit-il en créant ainsi une nouvelle légende, en lui éclaircissant comment il comptait se camoufler aux regards de Rumpelstiskin et de Nottingham. Ils s'éloignèrent ensemble. Il s'en voulait d'avoir cacher ce qu'il comptait entreprendre dans ce monde. Il vint donc conter sa mésaventure, au souhait de sa compagne, en expliquant son raisonnement « Quand tu voles pour toi-même, ca fait de toi un voleur. Mais quand tu voles pour quelqu'un, ca fait de toi un héros. » affirme-t-il, avant de regarder le bonheur du peuple de Sherwood, avant d'entretenir une dernière conversation. « Qu'importe ou nous sommes ou ce qui nous fait face. Je veux être avec toi. » répondit-elle, en acceptant de reprendre le chemin ensemble, en échangeant un baiser amoureux, démontrant leur romance, et leur bonheur.

Ils attendaient un heureux événement, néanmoins celui-ci fut écourter quand ils vinrent à apprendre que Marian avait une maladie incurable, qu'elle risquait lors de l'accouchement de décédée, en même temps de l'enfant si elle ne venait pas à avoir les soins nécessaires. Le seul moyen de soigner ce mal qui rongeait sa femme, c'était de s'emparer d'une baguette magique, lui permettant de la guérir complètement. Hélas celui qui était en possession de la baguette, était le vieil homme, auquel il n'avait su apporté la potion magique qu'il souhaitait en échange d'une maudite somme d'argent. Robin s'aventura quand pour récupérer cet objet, en allant au château de Rumpelstiskin, ou celui-ci intercepta pendant son infraction dans sa demeure. Le sorcier noir lui mit en garde, de ce qu'il risquait en le provoquant, ou dérobant un quelconque objet, celui-ci lança une flèche en sa direction, qu'il stoppa d'un claquement de doigt, ce qui étonna beaucoup le jeune homme. Qui se retrouva malencontreusement enfermé contre son grès, dans une salle, ou il était à maintes et maintes fois torturer pour le simple fait de voler pour protéger quelqu'un d'une maladie incurable. Néanmoins, une jeune femme prénommé Belle, eut l'amabilité, et la gentillesse de le sortir de l'emprise de Rumpelstiskin, en prenant par la même occasion, la baguette qu'il convoitait beaucoup. Il put ainsi sauver sa femme dans une charrette, observer par Rumpelstiskin et Belle, avant qu'ils ne viennent à s'échapper ensemble pour donner naissance à leur premier enfant, nommé Roband de Locksley.

Il donna une quête à sa conjointe après son accouchement, cependant celle-ci ne revint plus jamais au domicile, même après de longue recherche, aucune trace ne leur permettrait de la retrouver. Le jeune homme n'avait aucune connaissance que Regina enferma dans une cellule, en demandant sa mort, pour avoir simplement répondu, en avouant ce qu'elle aurait du probablement faire, pour la personne qu'elle aime, pour son entourage. Ce qu'elle vit comme un ordre, et demanda son exécution. (..)

Il aperçut un nuage de violet s'emparait de la forêt enchanté, il accourut pour protéger son enfant. Lui couvrant le visage avec un vieux drap usé, instinctivement, avant de se retrouver brusquement à StoryBrooke (…)

Il ne portait plus la même identité, à StoryBrooke, il était connu comme Robin HobbeHod. Le barman à l'écoute, bon, rongeait par la culpabilité, celle d'avoir abandonner sa défunte femme. Il n'a aucun souvenir, mais cette impression de remord, encrait dans son âme, dans son cœur, comme s'il avait commis une erreur impardonnable. Il n'avait pas conscience de laquelle, seulement que cela était important. Le jeune homme était spectateur des événements, la mémoire des habitants, comment le garçon avait le pouvoir de ranimer la flamme de certaines personnes. Le garçon du blond était même convaincu sur existence des personnages de contes, néanmoins pas comme celui-ci espérait. L'imagination déborde de Roland croyait que son paternel, était un super héros, un homme invincible. Il était amusé, touché, de voir comment son enfant le sur-estimait beaucoup. Le blond néanmoins avait beaucoup de mal à croire à existence à la magie, aux personnages de contes. Il y a fort à parier qu'en plus du sortilège, un problème empêchait d'y croire même personnages de contes, tout comme à la magie. De là même blâmer Regina, même de la surnommé de la « méchante reine » n'était-ce pas un peu irréel ? Il ne jugeait pas une personne sans preuve concrète, sans connaître la personne, ou ce qui la pousse à se comporter comme ça. Alors il ne donna raison, ni au surnoms, ni aux déclamations, demeurant spectateur. Bien que chaque altercation auprès de celle-ci, n'apportait aucun changement. Il remarqua qu'elle avait un comportement mauvais, malsain, et hautain. Oui, mais il y a forcément une raison pour aborder un tel comportement, non ? Il n'ira pas à se frotter bien loin, lorsqu'elle tenta d'empoissonner une personne, son fils en fut malheureusement la victime, quand il croqua dans la pomme.

Il put être témoin de la même affection pour son enfant, que lui-même pour son garçon. Il pensa qu'au fond, il y avait peut-être une once d'espoir, que personne ne peut apercevoir vu leur agissement. Ceux-ci presque identique à celui de la méchante reine. Il ne comprenait pas la notion de « seconde chance » de « rédemption » pour lui en vouloir inlassablement, comme si cela allait pouvoir changer quelque chose. Ils faisaient que se comporter comme celle-ci, se moquant des percutions de leur comportement. Lui compris mieux le sens de son emploi à plein temps, la culpabilité d'avoir condamné sa femme, en accomplissant une mission. Il avait sa place dans cet endroit, comme les hommes qui boivent pour oublier. Le principal c'est que son fils avait une éducation, un toit pour se protéger des intempéries. Le reste n'était pas censé avoir d'importance. Ils pouvaient reprendre maison son ancienne vie..

Codage par Rozenbrez sur Never Utopia.