Rescue the savior { GRETEL

C’est un samedi pluvieux, mais dont les températures étaient lourdes, qu’elle se rendit compte que la fête des mères approchait. Et, elle avait beau ne pas encore être prête à accepter sa relation mère-fille avec Mary-Margaret, elle acceptait l’idée qu’elle puisse être sa mère, et restait tout de même malgré tout une bonne amie de cette dernière. Car, après tout, elle était celle qui l’avait soutenue dès son arrivée à Storybrooke. Rien que pour ça, il lui semblait normal qu’elle lui fasse un petit cadeau, même si ce n’était pas grande chose. Capitulant devant la chaleur, elle laissa son bonnet chez elle et parti en quête de son cadeau.

Elle s’était longtemps interrogée sur le genre de cadeau qu’elle aurait pu lui faire. Et, ainsi, elle s’était promenée dans un peu toute la ville pour regarder quelles types de boutiques s’y trouvaient. Finalement elle avait trouvé une petite boutique de beauté qui lui semblait bien charmante, bien qu’elle n’y ai encore jamais mis les pieds. Mais aujourd’hui était le jour J et ainsi elle passa la porte de la boutique et vint bien vite se perdre dans les différents rayons. Elle qui ne s’était jamais intéressée à ce genre de produits s’y perdit bien rapidement…

Elle avait fait des efforts, pourtant. Elle s’était attardés sur des produits de couleur magenta qui semblaient sentir bien bons – et qui sentaient en réalité divinement mieux !- mais elle n’était même pas sûre de savoir à quoi ces produits pouvaient bien servir…Bon, il était évident que ce serait toujours plus agréable que ce genre de soins qui sont fait à base de bave de limaces, mais tout de même…Qui se risquerait à offrir quelque chose à quelqu’un sans vraiment savoir ce que ça pouvait être ? Si elle venait à lui poser des questions, elle ne saurait pas lui répondre…Elle ne voulait pas prendre le risque.

Aussi, elle revint vers le comptoir pour y trouver la vendeuse –la gérante, même, peut-être ?

« Excuse-moi ? J’aimerais faire un cadeau à ma m…à une amie. Mais je ne sais pas vraiment quoi choisir. Peut-être que tu pourrais m’aider ? »